Divinity Original Sin 2 est un RPG héroïc Fantasy offrant des choix multiples pour une quête épique ainsi qu'une liberté assez folle dans la création de personnage et l'exploration. Très inspiré des jeux de rôles, il offre un contenu complet et de qualité.
L'histoire je ne la raconterais pas, elle est propre à l'univers du jeu, que je ne connaissait pas avant cet opus, et je pense qu'il faut la découvrir au fur et à mesure de l'aventure. Selon vos actions, votre race, vos talents, vous aurez droits à de nombreuses variantes qu'il sera impossible de toutes explorer en une seule fois !
Des personnages pré-construits sont jouable avec leur parcours particuliers, caractères propres et leurs scénarios bien à eux mais rien ne vous empêche d'en créer un de toute pièce ! Vous avez le choix entre quatre races et leurs versions mort-vivantes : les humains, les elfes, les nains et les lézards. Chaque race à son passif et ses particularités. Ajoutez à ça de nombreuses classes personnalisables à souhait vous offrant un grand choix et une sensation de liberté exquise.
L'aventure se fait à la troisième personne, vu du dessus, et en solo il vous faudra choisir vos compagnons pour affronter les épreuves qui se dresserons devant vous. Et eux aussi sont personnalisables, jusque dans l'apparence (un peu plus tard dans le jeu). Néanmoins les passifs des personnages cités plus haut restent fixes : si vous prenez un personnage étant d'origine noble ou hors la loi, il le restera quelque soit sa classe, jusqu'à la fin de la partie. L'équilibre des talents et des compétences élémentaires est fondamental pour pouvoir affronter chaque situation. De nombreux sorts vous serons nécéssaires pour explorer pleinement l'environnement, sans quoi vous passerez surement à côté de quêtes ou d'équipement forts utiles.
L'univers est globalement lumineux et coloré, pleins de petits détails cachés et le style graphique permet aux plus froussards, comme moi, de pouvoir tout faire sans craintes. Le mode de combat en tour par tour aidant d’ailleurs beaucoup à la prise en main bien qu'il faudra réfléchir longuement à vos tactiques si vous ne choisissez pas la plus faible difficulté du jeu.
Le détail est poussé jusque dans la collecte d'objets, une simple note trouvée sur un bureau pouvant vous ouvrir tout un pan d'une quête, y compris de la quête principale. Soyez toujours attentifs. De nombreux livres que vous croiserez sur votre chemin vous permettrons d'apprendre des compétences magiques, des recettes de craft et des détails parfois fondamentaux sur le l'univers. Tout est travaillé dans le détail.
Quoi qu'il en soit, pensez à sauvegarder régulièrement, pendant les combats, pendant l'exploration et même pendant les dialogues, on n'est jamais à l'abris d'une mauvaise surprise sur Divinity !
Et pour conclure, le must, c'est que le jeu est faisable en coopération jusqu'à quatre joueurs ! Il y a également un mode Maître du jeu et un mode Arène que je n'ai pas encore testés. Pour une quarantaine d'euro, c'est un investissement qui en vaut la peine, après plus de 80 heures de jeu pour finir ma partie solo me voilà prête à relancer une partie en multijoueurs.
Plateforme : PC
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