Pretty little liars raconte l'histoire de Spencer, Aria, Hanna et Emily, quatre amies qui se retrouvent un an après la disparition d'Alison, une lycéenne sulfureuse qui les a fait se rencontrer. Toute l'intrigue repose sur les mystères liés à cette disparition et à la recherche de l'identité du mystérieux "A", harceleur anonyme qui les fait chanter.
Bien que nian-nian et très tourné ado, j'ai voulu essayé d'accrocher à cette série. J'ai tenu 64 épisodes, ni plus ni moins, avant de craquer complètement. L'intrigue pourrait être sympa, cependant elle tourne en rond, on avance pas. Tout repose sur des mystères qui s'entre-mêles et perdent de sens plus on avance dans la série. Les incohérences s'accumulent avec des personnages qui se rabibochent sur des coups de tête passant l'éponge sur les menaces, l'humiliation, la terreur, la trahison, plus vite que sur des assiettes sales. Les lois n'existent pas, la vraisemblance des mesures d'éloignement non plus. Tout est mélangé et embrouillé, on ne s'en sort pas. Et si par malheur vous avez été piqué de curiosité, sachez que le vrai "A" n’ai pas découvert avant le dixième épisode de la saison 6. Chaque saison fait 25 épisodes. Du vide, beaucoup trop de vide. Et trop de mystères incongrus malgré une réalisation assez dynamique et propre. Épargnez vous.
Visionnage : Plus ou moins 3 saisons
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